Tous les étés quand on allait danser
Dans un troquet qu’on appelait chez
Jacquet
On se trouvait toujours un amour de
vacances
Le
temps d’une cadence de guitare.
Tous les étés quand on allait danser
On s’enivrait du grand soleil de la
jeunesse
Et parmi les fleurs on trouvait le
bonheur
Quand on s’aimait chez Jacquet.
Tous les étés quand on allait danser
Le vin rosé avait un goût de liberté
On ressentait le retour de notre
insouciance
Comme une évidence tous les soirs.
Tous les étés quand on allait danser
On se laissait aller à tous les
sortilèges
Et sous les pommiers on se volait des
baisers
Quand on dansait chez Jacquet.
En avant! Les jolies mélodies
d’antan!
Tourbillon de petits pas dansant
L’accordéon vous
Jouait un petit air joyeux
Les violons vous
Mettaient les larmes aux yeux.
Tous les étés quand on allait danser
Dans ce troquet qu’on appelait chez
Jacquet
On offrait tout simplement son
innocence
Comme une confidence plein d’espoir.
Tous les étés quand on allait danser
On ignorait les illusions de nos
promesses
Puis au matin on se souvenait de rien
Quand on buvait chez Jacquet.
An
antidote to a toxic world.
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